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Déconfinement, fin du couvre-feu, réouverture des magasins, des restaurants, etc., en juin ont pu donner un sentiment de « Liberté ». Pour autant les crises : sanitaire, économique et sociale sont les « marqueurs forts » de cette période qui continue et accentue la détérioration des conditions de vie des retraités.
Cette situation est inacceptable.
Lire la suite : Les retraités doivent être entendus! Rendez Vous le 1er octobre !
Au moment où, petit à petit, nous retrouvons certaines libertés, nous pouvons enfin envisager de reprendre nos activités, pour que les retraités retrouvent une vie sociale dont ils ont été privés pendant de longs mois. C'est d'autant plus nécessaire que le Covid-19 a révélé l'importance de la fracture sociale et confirmé que notre pays va mal comme en témoigne, entre autres exemples, l'incapacité de SANOFI, entreprise pharmaceutique française, à produire un vaccin français.
Au-delà des effets d'annonce, nous constatons que la vaccination prend du retard, que les hôpitaux et les services de réanimation sont à saturation, que l'on déprogramme des opérations.
Les BIG PHARMA, qui ont reçu des milliards de fonds publics pour financer la recherche, s'approprient les brevets pour contrôler la production des vaccins et augmenter leurs gains. En ces temps de pandémie, la priorité doit être donnée à la santé et non au profit.
La seconde vague du Covid est tout aussi meurtrière que la première.
Malgré l'annonce de son déferlement par les scientifiques, rien n'a été anticipé...
Editorial E&S N°43
La crise vécue par notre pays est subie durement par nos adhérents et, globalement, par tout le peuple.
Pour les retraités, cela représente une double peine faite d'interdits: interdit de visite aux maisons de retraite, interdit de voir les enfants, d'amener les petits-enfants à l'école.
Tous ces interdits conduisent à une invisibilité, une marginalisation et, in fine, au renforcement des inégalités.
Face à une pandémie, chacun a le droit, et le devoir de se protéger et de protéger les autres.
Tous les services de soins, d'EHPAD, d'aide à domicile, doivent évidemment en être équipés ; ainsi que chaque citoyen,.
L'accès aux moyens de détection, de protection, de traitement, sont très inégalitaires, d'un pays à l'autre, et au sein d'un même pays. C'est le cas en France...
Lire la suite : CONTRE LE #COVID19, masques gratuits pour tous: UN IMPÉRATIF DE SANTÉ PUBLIQUE!
Les ministères changent mais le mépris du gouvernement vis-à-vis des retraités et leur culpabilisation reste la règle
Ainsi 17 millions de retraités n'ont aucun interlocuteur dédié dans le gouvernement Castex qui ignore les revendications du quart de la population.
Mais ce n'est pas suffisant !
Alors qu'une revalorisation des pensions était prévue au 1er avril (entre 0.3 % et 1% selon le niveau de pension) celle-ci est passée discrètement à la trappe pour être éventuellement appliquée au 1er octobre.
Communiqué du Bureau National
Or ce quart de la population nationale n'est ni consulté ni entendu sur les sujets qui le concerne, et les demandes de rendez vous auprès du président de la République ou du ministre des Solidarités et de la Santé n'ont reçu pour toute réponse qu'une fin de non recevoir.
Lire la suite : UN INTERLOCUTEUR MINISTÉRIEL POUR LES RETRAITES ET PERSONNES ÂGÉES !
Editorial E & S N°42
Avant, les retraités étaient considérés comme des nantis, avec 1 200 € de pension par mois, des égoïstes qui ne pensaient pas aux plus jeunes dans la difficulté. Pourtant, ils étaient les mieux placés pour savoir qu'ils aidaient déjà leurs enfants et petits-enfants. Retraités privilégiés, on pouvait donc les ponctionner : gel des pensions, CSA, CSG, etc.
Lire la suite : Edito: Le coronavirus: avant, pendant, maintenant… et après ?
Communiqué de 7 organisations de retraités, dont E&S-UNRPA
Retraité-es nous tenons à notre hôpital public et au service public de santé que nous utilisons de plus en plus en vieillissant. Usagers, nous ressentons et subissons particulièrement les conséquences des politiques comptables menées depuis 1995, la réduction des capacités et des moyens des hôpitaux, des maisons de retraite, des services d'aide à domicile. Le Ségur de la santé s'annonce mal pour le secteur hospitalier, quand on sait que Nicole Notat qui le préside, a soutenu la mise en place de la maîtrise des dépenses de santé.
Lire la suite : Retraités, usagers de l’hôpital public, nous serons dans l’action le 16 juin